No items found.

Jean-Émile Laboureur

Découvrez la vie et l'œuvre de Jean-Émile Laboureur, artiste aux multiples talents. Explorez sa biographie, ses techniques, ses œuvres emblématiques et bien plus encore.

Cote, estimation et prix des oeuvres de l'artiste Jean-Émile Laboureur

Jean-Émile Laboureur (1877-1943) est un artiste français qui a marqué son époque par la diversité de ses talents. Peintre, graveur, illustrateur et sculpteur, il a laissé derrière lui une œuvre riche et variée qui témoigne de sa maîtrise des différentes techniques artistiques. Dans cet article, nous vous invitons à découvrir la vie et l'œuvre de cet artiste singulier, depuis sa biographie jusqu'à l'évolution de sa cote sur le marché de l'art, en passant par ses techniques de prédilection et ses créations les plus emblématiques.

{{data-table}}{{divider-cylindre-marron}}

Biographie de Jean-Émile Laboureur

Enfance et formation

Né en 1877 à Nantes, Jean-Émile Laboureur grandit dans une famille bourgeoise. Très tôt, il montre des dispositions pour le dessin et la peinture. Après des études à l'École des Beaux-Arts de Nantes, il part pour Paris où il fréquente l'Académie Julian et l'École des Beaux-Arts.

Carrière artistique

La carrière de Jean-Émile Laboureur prend son envol au début du XXe siècle. Il se fait connaître comme graveur et illustrateur, collaborant avec de nombreux écrivains et poètes de son temps. Parallèlement, il poursuit son travail de peintre et de sculpteur, exposant régulièrement dans les Salons parisiens.

Reconnaissance et postérité

Au fil des années, Jean-Émile Laboureur acquiert une solide réputation dans le monde de l'art. Son œuvre est saluée par la critique et recherchée par les collectionneurs. Après sa mort en 1943, son travail continue d'être célébré et étudié, faisant de lui un artiste incontournable de la première moitié du XXe siècle.

{{divider-feuille-bronze}}

Les techniques utilisées par Jean-Émile Laboureur

La gravure

Jean-Émile Laboureur est particulièrement reconnu pour son travail de graveur. Il maîtrise à la perfection les techniques de la gravure sur bois et de l'eau-forte, créant des œuvres d'une grande finesse et d'une grande expressivité. Ses gravures, souvent réalisées en noir et blanc, se caractérisent par leur style épuré et leur atmosphère poétique.

Le dessin et l'illustration

Le dessin occupe une place centrale dans l'œuvre de Jean-Émile Laboureur. Qu'il s'agisse de croquis, d'études préparatoires ou d'illustrations pour des livres, l'artiste fait preuve d'un trait sûr et d'un sens aigu de la composition. Ses dessins, réalisés à la plume, au crayon ou au fusain, témoignent de sa maîtrise du trait et de sa capacité à capter l'essence de ses sujets.

La peinture et la sculpture

Bien que moins connu pour sa peinture et sa sculpture, Jean-Émile Laboureur a également exploré ces deux mediums tout au long de sa carrière. Ses peintures, souvent des paysages ou des scènes de genre, se distinguent par leur palette chromatique subtile et leur touche délicate. Quant à ses sculptures, elles révèlent un sens aigu des volumes et des formes, ainsi qu'une grande sensibilité dans le traitement des matériaux.

{{divider-carre-rose}}

Les œuvres emblématiques de Jean-Émile Laboureur

Les gravures

Parmi les gravures les plus célèbres de Jean-Émile Laboureur, on peut citer 'Le Pont de Passy' (1910), 'Le Quai des Grands-Augustins' (1912) ou encore 'La Place Saint-André-des-Arts' (1915). Ces œuvres, qui représentent des vues de Paris, sont devenues emblématiques du style de l'artiste et sont aujourd'hui très recherchées par les collectionneurs.

Les illustrations

Jean-Émile Laboureur a illustré de nombreux ouvrages au cours de sa carrière, collaborant avec des écrivains tels que Guillaume Apollinaire, Paul Valéry ou encore André Gide. Parmi ses illustrations les plus marquantes, on peut mentionner celles réalisées pour 'Les Fleurs du Mal' de Charles Baudelaire (1917) ou pour 'Les Stances' de Jean Moréas (1920).

Les peintures et sculptures

Bien que moins connues que ses gravures et illustrations, les peintures et sculptures de Jean-Émile Laboureur méritent également l'attention. On peut citer notamment 'Le Port de La Rochelle' (1921), une huile sur toile qui témoigne de la maîtrise de l'artiste dans le traitement des couleurs et de la lumière, ou encore 'Jeune Fille à la Mandoline' (1926), une sculpture en bronze qui révèle son talent de portraitiste.

{{divider-cylindre-marron}}

La signature de Jean-Émile Laboureur

La signature de Jean-Émile Laboureur est un élément important pour l'authentification de ses œuvres. L'artiste a utilisé plusieurs variantes de sa signature au cours de sa carrière, adaptant parfois la graphie à la technique employée.

Les gravures et illustrations

Sur ses gravures et illustrations, Jean-Émile Laboureur signe généralement de ses initiales 'J.E.L.' ou de son nom complet 'J.E. Laboureur'. La signature est souvent accompagnée de la date de création de l'œuvre et, dans le cas des gravures, du numéro d'exemplaire.

Les peintures et sculptures

Pour ses peintures et sculptures, Jean-Émile Laboureur utilise généralement son nom complet, 'Jean-Émile Laboureur' ou 'J.E. Laboureur'. La signature est souvent apposée en bas à droite de la toile ou gravée sur la base de la sculpture, accompagnée de la date de création de l'œuvre.

{{divider-circle-bleu}}

L'évolution de la cote de Jean-Émile Laboureur

Les gravures et illustrations

Les gravures et illustrations de Jean-Émile Laboureur sont très recherchées sur le marché de l'art et atteignent régulièrement des prix élevés en salle des ventes. Les œuvres les plus rares et les plus emblématiques, comme 'Le Pont de Passy' ou les illustrations pour 'Les Fleurs du Mal', peuvent dépasser les 10 000 euros.

Les peintures et sculptures

Bien que moins connues du grand public, les peintures et sculptures de Jean-Émile Laboureur suscitent également l'intérêt des collectionneurs. Les huiles sur toile de belle facture peuvent atteindre plusieurs milliers d'euros en salle des ventes, tandis que les sculptures en bronze, plus rares, dépassent parfois les 20 000 euros.

L'évolution dans le temps

Depuis la mort de Jean-Émile Laboureur en 1943, la cote de l'artiste n'a cessé de progresser. Si les années 1950 et 1960 ont vu une relative stagnation des prix, les décennies suivantes ont été marquées par une nette revalorisation de son œuvre. Aujourd'hui, Jean-Émile Laboureur est considéré comme un artiste majeur de son époque et ses créations continuent de séduire un large public d'amateurs et de collectionneurs.

{{divider-cylindre-marron}}

Expertiser et vendre des œuvres de Jean-Émile Laboureur

L'authentification des œuvres

Pour expertiser une œuvre attribuée à Jean-Émile Laboureur, il est important de faire appel à un spécialiste. Ce dernier étudiera attentivement l'œuvre, en analysant notamment la technique employée, le style, la signature et les éventuelles inscriptions. Il pourra également s'appuyer sur des documents d'archives (certificats d'authenticité, catalogues raisonnés, etc.) pour confirmer ou infirmer l'attribution.

La vente aux enchères

La vente aux enchères est le moyen le plus courant pour vendre une œuvre de Jean-Émile Laboureur. Les maisons de ventes spécialisées dans les arts graphiques et la peinture moderne sont les plus à même de valoriser ce type de création. Avant la vente, l'œuvre sera expertisée, décrite et estimée. Elle sera ensuite présentée dans un catalogue et exposée au public avant d'être mise aux enchères.

La vente de gré à gré

Il est également possible de vendre une œuvre de Jean-Émile Laboureur de gré à gré, en passant par une galerie ou un marchand spécialisé. Cette solution peut être intéressante pour les œuvres de moindre valeur ou pour les collectionneurs qui souhaitent rester discrets. Le prix de vente sera alors négocié directement entre le vendeur et l'acquéreur, sans passer par le processus des enchères publiques.

Le Pont de Passy' (gravure)
entre 8 000 et 12 000 euros
Le Quai des Grands-Augustins' (gravure)
entre 6 000 et 10 000 euros
Les Fleurs du Mal' (illustrations)
entre 5 000 et 8 000 euros
Le Port de La Rochelle' (huile sur toile)
entre 15 000 et 20 000 euros